Tous les artistes - Productions de l’onde

Tous les artistes

  • Dans son premier album aux parfums de fleuve, de bois et de toundra, Bon Débarras propose un riche cocktail d’airs traditionnels et de créations collectives ou individuelles pour lesquelles les trois membres du groupe ont pris la plume. Ce projet musical mûri et fignolé est riche de l’exploration de traditions orales du pays et d’ailleurs. Grâce à un heureux métissage, les histoires d’hier font écho à celles d’aujourd’hui. La diversité des instruments joués par le groupe permet cette polyvalence des genres et les incursions dans la souvenance de l’Amérique francophone. Dominic Desrochers : guitare, planche à laver, voix, gigue Jean-François Dumas : guitare, banjo, harmonica, podorythmie, voix Luzio Altobelli : accordéon, voix
  • Repoussant encore plus loin les frontières du folk trad, Bon Débarras est de retour avec un deuxième album dans ses valises, Errance, et un lot de nouvelles pièces originales. Inventifs, les membres du groupe s’aventurent ici sur des chemins moins fréquentés. Quoique toujours bien ancrés dans leurs racines, ils puisent plus profondément leur inspiration dans une américanité aux saveurs cajun, rock, blues rap ou country. En résulte une proposition musicale singulière où guimbarde, ukulélé, banjo, guitare, contrebasse, tres, kora, harmonica, accordéon, cajón, et planche à laver cohabitent en toute harmonie. Dominic Desrochers : voix, guitare, planche à laver, tres, ukulélé, harmonica, guimbarde, ti-fer, gigue, percussion corporelle et métallique Jean-François Dumas : voix, banjo, guitare, podorythmie, harmonica, cajón, guimbarde, ti-fer, percussion corporelle et métallique Cédric Dind-Lavoie : voix, contrebasse, égoïne, percussion corporelle et métallique
  • Après une belle et fructueuse errance parsemée de rencontres et de partages, Bon Débarras propose une série de compositions et de textes originaux dont les saveurs québécoises sont renforcées par l’arrivée du violon. Ce nouvel opus est imprégné de poésie, de sonorités urbaines et des racines profondes des Premières Nations. Des airs racontés, des histoires chantées et dansées à travers une harmonie tant vocale qu’humaine. Fabriqué « en famille », En panne de silence a été réalisé par Cédric Dind-Lavoie, ancien membre du groupe, qui signe également quelques compositions. La participation de Luzio Altobelli à l’accordéon et du Quatuor Trad apporte une touche de douceur parmi un lot de pièces dégageant une énergie contagieuse qui invite résolument à la panne de silence. Dominic Desrochers : voix, guitare, ukulélé, tambour, planche à laver, canisses, gigue, percussion corporelle Jean-François Dumas : voix, banjo, guitare, mandoline, podorythmie, harmonica, guimbarde, cajón Marie-Pierre Lecault : voix, violon, alto
  • La veille de Noël, un vieux loup maussade et solitaire est attiré par les lumières qui brillent dans l’église d’un village. Affamé, le loup se précipite. Il veut manger l’enfant couché dans la crèche! Heureusement, le curé est là… Ce conte qui nous plonge dans les traditions anciennes du Québec est suivi d’un réveillon musical qui fera danser tous les petits loups. Conte : Claude Aubry Musique : Bon Débarras Narration : Michel Faubert Illustrations : Pierre Pratt Couverture rigide, 21 cm x 21 cm, 60 pages accompagné d’un disque d’une durée de 53 minutes (1 conte narré + 12 chansons)
  • Sur la pochette, l’homme à la tête de nuage, héros du vidéoclip de la chanson-titre. Sur le CD, un voyage à travers l’univers urbain; entre le merveilleux des amours mortes et la bêtise flamboyante de notre Nord-américanitude, les levers et couchers de soleil. Un livret magnifique, une rencontre avec quinze chansons défilant comme les chapitres d’un roman, une route en musique aux styles contryjazzlatinopopchansonfrançaiseclassicopoéticojoual. Une rencontre avec 24 musiciens exceptionnels et la collaboration spéciale avec Henri Texier J’ai aimé. Entrez dans la danse des canards pour la plus belle et possible dernière aventure de ma carrière de chanteur de l’ombre.
  • Trois années déjà s’étaient écoulées depuis Dans ce monde poutt poutt. Après avoir épluché plus de 104 titres pour qualifier le projet, jumeler l’idée de folie à celle d’un volatile innocent me semblait judicieux. Douze titres, douze envols : Foule anonyme, Les douteux, Sans toi à Washington, Gestes de gestionnaires, Swigne la baraque, J’l’ai pas dit (Sarkozy), À l’arraché, Je, Ils, Noël, On s’aimait doux et Toute ta lettre, s’enchaînent comme les chapitres d’un roman. Il est préférable de tout écouter avant de qualifier le projet d’un genre. Pop et pas pop, folk et pas folk, rock et pas rock, big-band et guitare seule. Voyage au cœur des villes tissées d’humains. Le bonheur y côtoie l’absurde. La beauté s’emmêle de grisaille et de rêves à retrouver.
  • Voici le premier album de la trilogie Bori Balade, Salade et Malade, une série de clins d’œil photographiques comme plusieurs fenêtres ouvertes sur les océans du monde. Dans cette Fitzcaraldienne aventure, le voyage n’aurait pu être agréable sans tous les complices artisans qui ont accepté de m’épauler. Voguer sur les mers profondes de l’humain s’avère un risque. Le doute d’arriver à bon port n’a pu s’estomper sans les présences des fées Monique Fauteux, Judi Richards et Karine Deschamps, des précieux marins Jean-François Groulx, Christian Frappier, Jim Hillman, Adrian Vedady, Yvan Belleau, Sheila Hannigan, Mario Hébert, Mario Légaré, Levy Bourbonnais, comme indispensable bouées de sauvetages.
  • Au cœur de l’hiver se sont développées comme dix petites tumeurs dix chansons nées d’instinct, loin des « il faudrait », des « ce serait mieux » ou des « tu peux pas ». Suis-je dérangé Journée d’enfer, d’une folle lucidité Le Riche et le Pauvre,mort émotionnellement Y a plus d’émoi en moi, ou mort tout simplement Avant de partir ? Brouhaha, vous dirais-je ? Rien de plus, rien de moins que les soubresauts des multiples volcans qui habitent ma tête. Bonne écoute et revenez me voir pour Salade.
  • La parution de Bori Salade vient clore une aventure aussi étonnante qu’audacieuse entreprise en septembre 2012. Rappelons le défi que Bori s’était lancé : créer et faire paraître trois albums aux univers musicaux différents en l’espace de 18 mois. Alors que le premier volet, Bori Balade, proposait des ambiances intimes, Bori Malade, le second opus, misait sur les expérimentations musicales. Pour ce troisième et dernier volet, Bori multiplie les collaborations et les rencontres, réelles ou fictives, pour créer une savoureuse salade musicale.
  • À moi le froid, je n’ai pas peur ! Un petit ours ignore les conseils de ses parents et choisit de passer l’hiver loin de sa tanière. Libre, il fait la fête avec les oiseaux, les renards et les chevreuils. Mais le printemps est bien loin... Rempli d’illustrations vivantes et raffinées, le livre est un hommage à la grande forêt québécoise, à ses arbres et à ses animaux. Les dix pièces musicales créées spécialement par Edgar Bori pour accompagner le conte suivent les aventures de l’ourson et de ses amis sur des airs circassiens, traditionnels ou jazz. Au rythme des saisons et des chansons, petit ourson deviendra grand ! Conte : Félix Leclerc Chansons : Edgar Bori Illustrations : Marie Lafrance Couverture rigide, 21 cm x 21 cm, 44 pages accompagné d’un disque d’une durée de 37 minutes (1 conte narré + 10 chansons)
  • Ni album de nouvelles chansons, ni compilation, ce recueil est une relecture de Bori par Bori. Parmi toutes les bandes originales de ses albums, il a choisi 17 chansons avec lesquelles il est « encore en accord, voire en amour » et les a ensuite revisitées en studio, derrière les consoles, avec la complicité de Guy Hébert (il est d’ailleurs recommandé d’écouter cet album avec un casque d’écoute pour profiter pleinement du travail de réarrangement sonore réalisé). L’agencement des pièces permet également de poser un regard neuf sur la démarche singulière de l’auteur-compositeur et sur sa poésie tantôt poignante, tantôt incisive, mais toujours Mautaditement Bori.
  • Jean-François Groulx : piano, guitare, voix Ron Séguin : contrebasse Paul Léger : batterie (#2, 4, 5, 6, 8, 9) Magella Cormier : batterie (#1, 3, 7)
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